Une femme de valeur
"Qui trouvera une femme de valeur ? Son prix dépasse beaucoup celui des perles."Proverbes 31.10
Une femme de valeur
"Qui trouvera une femme de valeur ? Son prix dépasse beaucoup celui des perles."Proverbes 31.10
Un jour, Jésus a touché les yeux d’un aveugle qui s’est exclamé : « Je vois des hommes, mais comme des arbres, et ils marchent » (Mr 8.24). Autrement dit : « Je vois quelque chose, mais c’est encore flou ». Alors Jésus l’a touché à nouveau afin qu’il voie distinctement. Sans une vision de Dieu, vous allez trébucher dans la vie, incapable de voir qui est Dieu et ce qu’il peut faire, ou de voir qui vous êtes et ce qu’il peut accomplir à travers vous. Thomas Edison a « vu » le filament incandescent bien avant que ne brille la première lampe électrique. Sa vision lui a permis de persévérer malgré des milliers d’expériences ratées. Bill Gates a« vu » un PC dans chaque bureau, chaque maison, pendant que les soi-disant experts disaient : « Ça n’arrivera jamais de notre vivant ». Quarante ans avant qu’Israël n’entre en Terre promise, Moïse l’avait « vu » (Hé 11.27). Dieu peut faire toutes sortes de choses, vous ne les voyez pas car vous êtes spirituellement aveugle. Vous souvenez-vous des deux disciples sur la route d’Emmaüs ? Jésus a parcouru plusieurs kilomètres en leur compagnie mais c’est seulement après leur avoir expliqué les Écritures que nous lisons : « Alors leurs yeux s'ouvrirent et ils le reconnurent » (Lu 24.31). Lorsque vous commencez à voir Dieu à l’œuvre dans votre vie, votre peur diminue et votre foi augmente. De quelle façon se révèle-t-il ? À l’église ? Parfois. Mais le plus souvent il se révèle à travers sa Parole, nous ouvre les yeux et tout à coup, nous le voyons d’une manière entièrement nouvelle. Alors aujourd’hui, priez : « Ouvre mes yeux, pour que je contemple […] » (Ps 119.18).
Bob Gass
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Un catalyseur agit sur un autre corps et le modifie ! Sans eau, un comprimé effervescent ne pourra jamais se dissoudre. Sans levain, la farine ne produira jamais de pain. Sans soleil, la semence ne germera jamais. Sans jaune, le bleu ne donnera jamais de vert. Sans spermatozoïde, pas de fécondation possible de l’ovule. Sans air, une étincelle ne produira jamais de flamme. Sans la foi, la Parole de Dieu n’agira jamais dans votre vie. Au sujet des Israélites, Paul a dit : « La parole […] ne leur servit de rien, car ceux qui l'entendirent ne la reçurent pas avec foi ». Un auteur écrit : « Sans certains catalyseurs,on n’aboutira jamais au résultat voulu. Pour grandir spirituellement, il ne suffit pas de lire la Bible ou d’écouter des sermons. Il faut agir par la foi. La foi fonctionne comme un catalyseur. Une rupture a pu vous laisser plein d’amertume et de colère. Dieu vous a dit de laisser tous ces sentiments derrière vous, mais vous manquez de volonté pour le faire. Laissez-moi vous encourager : Placez votre confiance en Dieu et agissez par la foi. En marchant par la foi, vous verrez ses promesses s’accomplir ». Être d’accord avec sa Parole ne suffit pas. Il ne suffit pas non plus de répéter ce que vous avez lu. Il faut la mettre en pratique et croire que Dieu fera ce qu’il a promis. Vous pouvez penser qu’une chaise supportera votre poids mais vous n’en serez vraiment sûr qu’après vous y être assis. La foi ne fonctionne pas ainsi. Comprenez-vous l’idée ?
Bob Gass
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Dans une lettre à son ami George Whitefield, Benjamin Franklin écrit : « Je ne saurais témoigner ma gratitude pour toutes les grâces de Dieu qu’en étant toujours prêt à aider ses enfants et mes frères. Je ne crois pas que de simples remerciements suffisent à nous décharger de nos obligations les uns envers les autres, et encore moins à nous dispenser de nos devoirs envers notre Créateur. Je ne dis pas que nos bonnes œuvres nous garantissent une place au Ciel. J’entends par là un état de bonheur, infini etéternel. Je ne peux rien faire qui me rende digne d’une telle récompense. La foi que vous professezest fondée. Je n’ai nul désir de la voir diminuer, ni ne voudrais tenter de l’affaiblir chez quiconque. Mais je souhaiterais qu’elle soit plus féconde en bonnes œuvres : des actes de bienfaisance, de charité, de compassion et de service. On ne peut pas se contenter d’observer les jours de fêtes, de lire et d’écouter des sermons, d’aller au culte ou de faire de longues prières pompeuses. La louange est essentielle. Les sermons peuvent être utiles. Mais si les hommes se contententd’écouter et de prier, comme beaucoup trop le font, c’est comme si un arbre se vantait de porter des feuilles alors qu’il ne produit aucun fruit ». S’il est vrai que c’est par grâce et non par nos œuvres que nous sommes sauvés, n’oublions pas que la foi qui sauve produit toujours de bonnes œuvres ! La foi est le fondement du salut. Mais les actes de générosité et de bienveillance en sont les fruits : « On connaît l'arbre à son fruit ».
Nous lisons : « [Jésus] vit deux frères, Simon appelé Pierre, et André, son frère, qui jetaient un filet dans la mer ; en effet ils étaient pêcheurs. Il leur dit : Suivez-moi, et je vous ferai pêcheurs d'hommes » (Mt 4.18-19). Pour suivre Christ, vous devez devenir pêcheur d’hommes ! Max Lucado se souvient d’une sortie de pêche : « Le premier jour, le ciel était gris et le lac agité. Pas moyen d’aller pêcher. Le jour suivant, tout était gelé ! Nous avons essayé de rester positifs, mais j’ai commencé à remarquer les défauts de Mark et la susceptibilité de papa. Restez enfermé avec quelqu’un et vous découvrirez sa vraie nature ! Quand la neige s’est invitée le jour d’après, on n’était plus d’humeur. Mark était insupportable, papa faisait tout de travers. Lorsqu’il a annoncé qu’on rentrait à la maison, personne n’a bronché […]. L’énergie que nous devions dépenser à pêcher, nous l’avions dépensée à juger l’autre. Souvent, au lieu de donner un coup de main, nous pointons un doigt accusateur. Au lieu de secourir ceux qui sont blessés, nous blessons ceux qui ont besoin d’être secourus. Résultat ? Des Églises divisées, de mauvais témoignages, des cœurs brisés, des disputes sans intérêt. Mais lorsque ceux qui sont appelés à devenir des pêcheurs d’hommes le deviennent, ils prennent leur envol. Rien n’unit davantage des soldats qu’un but commun. Laissez-les sans occupation et ils trouveront à se plaindre : des matelas trop durs, des repas trop froids, des officiers trop stricts. La prochaine fois que vous êtes tenté de rester à l’intérieur au lieu de relever les défis extérieurs, sortez ! »
Vous faites bien ce que vous faites, peut-être même mieux que la plupart, mais sans l’aide des autres, vous ne serez jamais aussi bon que vous pourriez l’être. Vous n’atteindrez jamais tout votre potentiel sans un bon conseiller. C’est impossible. Pourquoi un joueur de tennis de classe mondiale aurait-il besoin d’un coach, surtout s’il est moins bon que lui sur le court ? Réponse d’André Agassi : « Le tennis demande de subtils ajustements, essentiels pour gagner, et mon coach, Gill, est le meilleur dans ce domaine. Plus je vieillis, plus il m’est indispensable ». Pourquoi ? Parce que l’âge et l’expérience ne vous rendent pas forcément meilleur. Souvent, ils ne font que vous conforter dans vos habitudes. Dans la vie, comme en sport, vous ne pourrez jamais vous passer d’un bon conseil. Beaucoup pensent à tort que parce qu’ils dirigent, ils n’ont pas besoin d’être dirigés. Nous commettons également l’erreur de nous mesurer aux autres plutôt qu’au potentiel que Dieu nous a donné. Au final, nous ne devenons jamais ce que nous aurions pu être. Il est important de s’évaluer soi-même, mais plus encore d’être évalué par les autres. Un bon coach mesure vos performances par rapport à vos forces et non pas celles de quelqu’un d’autre. Il sait de quoi vous êtes capable et pourra vous pousser au-delà de vos limites. Il est toujours au bord du terrain à observer, et non assis au bureau à attendre un compte-rendu. Il s’investit personnellement dans votre succès. Votre victoire, c’est sa victoire. Ruth a eu besoin de Naomi et Timothée de Paul. Et vous, qui vous conseille ?
Bob Gass
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"Ils allumèrent du feu au milieu de la cour, et ils s'assirent. Pierre s'assit parmi eux… Ils virent un feu de braises…" Luc 22.55 ;Jean 21.9
On peut définir le succès par la richesse et la gloire. Mais à partir de quand est-on assez riche ou assez célèbre ? Faut-il se fixer arbitrairement une limite ? Faut-il se comparer aux autres ? Si vous avez décidé de vous consacrer à l’éducation de vos enfants, ou de servir dans votre Église ou votre communauté, vous éloignez-vous de ce qui définit le succès ? Non. Réussir, c’est donner le meilleur de soi-même, avec ses moyens, et où qu’on soit. La Bible nous met en garde : « Ils se prennent eux-mêmes comme mesure pour se mesurer et se comparer aux autres. Ils sont stupides ! » (2Co 10.12, PDV). Au jeu des comparaisons, vous êtes comme ces deux vaches qui voient passer un camion de lait sur lequel est écrit : « Pasteurisé, homogénéisé et enrichi en vitamine A ! » Alors l’une dit à l’autre : « On dirait vraiment qu’on est incompétentes ! » Dieu vous aidera à devenir vous-même, mais jamais un autre. Quand vous vous comparez aux autres, vous perdez de vue qui vous devez devenir. Connaissez-vous la règle des 18/40/60 ? À 18 ans, vous vous inquiétez de savoir ce que tout le monde pense de vous. À 40 ans, vous réalisez que ce qu’on pense de vous n’a pas vraiment d’importance. À 60 ans, vous prenez conscience que la plupart des gens n’ont finalement jamais rien pensé de vous ! Une seule question a suffi pour que l’existence de Paul change radicalement : « Seigneur que veux-tu que je fasse ? » (Ac 9.6). Ce n’est qu’en posant cette question que vous découvrirez qui vous êtes et ce que Dieu vous a appelé à être.
Bob Gass
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"Le mirage se change en un lac et la terre altérée en sources d'eaux ; le repaire où gîtaient les chacals devient un parc de roseaux et de joncs." Esaïe 35.7Vous marchez dans votre désert depuis plusieurs mois, voire plusieurs années. Puis, se dessine à l'horizon votre rêve : un mariage inespéré, un enfant tant attendu, un travail prometteur, une guérison miraculeuse, un diplôme ouvrant la porte à une carrière extraordinaire. Wow, la porte s'ouvre ! Plein de joie, vous courrez, et là c'est le drame… Ce n'était qu'un mirage, rien de plus. Désormais, vous avez l'impression que votre souhait ne cesse de vous fuir. Vous faites un pas en avant et votre rêve, quant à lui, en fait un en arrière. Votre foi en prend un coup. Vous êtes déçu. La victoire était si près, à quelques pas de vous…Le mirage est un phénomène bien connu dans les pays chauds. Il résulte de la dilatation inégale des couches d'air qui sont en contact immédiat avec la surface brûlante du désert. Les rayons du soleil sont réfractés de manière à produire sur le voyageur l'impression d'une nappe d'eau qui fuit incessamment à mesure qu'il veut s'en rapprocher.Néanmoins, dans ce texte de la Bible, le mirage est transformé cette fois en un vrai lac. Cela signifie qu'aux espérances décevantes succédera maintenant l'accomplissement parfait de tout ce que les élus ont attendu.Si Dieu n'est jamais en retard, il est rarement en avance. Tout est sous son contrôle : il connaît les temps et les circonstances. Il est celui qui décide de transformer les mirages en vrai lac. Faîtes-lui confiance. Il y a un temps pour tout, et Dieu fait toutes choses belles en son temps.Il y a quarante ans, ma mère s'est retrouvée seule avec deux enfants à élever dans une cité. Après des années de désert, avec quelques mirages par-ci par-là, elle a vu ses deux fils donner leur vie à Jésus et devenir pasteurs. Et il y a quelques semaines, le Seigneur lui a donné un mari. Gloire à Dieu, il change les mirages en vrai lac.Une prière pour aujourd'huiSeigneur, viens transformer mes mirages en vrai lac. Je place en toi toute ma confiance. Amen.Patrice MartoranoTopChretien.com
Cherchez l'opinion de Dieu
"L'homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l'Éternel regarde au cœur." 1 Samuel 16.7
Ouvre mes yeux
"Leurs yeux s'ouvrirent, et ils reconnurent Jésus ; mais il disparut de devant eux."Luc 24.31
La Bible dit : « Jésus, qui avait aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu'au bout » (Jn 13.1). Jésus lui-même déclare : « Je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé » (Jn 5.30). Dieu peut-il compter sur vous ? Les autres le peuvent-ils ? Tenez-vous vos promesses ou bien êtes-vous du genre à abandonner sur un coup de tête ou à revenir sur votre parole quand vous recevez une meilleure offre ? « Or, il y avait à Damas un disciple du nom d'Ananias. Le Seigneur lui dit dans une vision : Ananias ! Il répondit : Me voici, Seigneur ! » (Ac 9.10). Dieu savait où trouver Ananias. Sait-il où vous trouver ? Le pasteur Eric Hulstrand prêchait un dimanche, quand une femme âgée s’est évanouie, se cognant la tête sur un banc. À l’arrivée de l’ambulance, on l’a allongée sur un brancard. Elle a aussitôt repris connaissance et fait signe à sa fille de s’approcher. Tout le monde pensait qu’elle puisait dans ses forces pour lui transmettre ses dernières paroles. Sa fille se pencha et approcha son oreille. Alors elle l’entendit murmurer : « Mon offrande est dans mon porte-monnaie ». Les œuvres de Dieu ne devraient pas s’arrêter parce que vous êtes parti en vacances en emportant vos offrandes avec vous. « Honore l'Éternel avec tes biens et avec les prémices de tout ton revenu » (Pr 3.9). Votre fidélité ne devrait pas dépendre des conditions économiques, mais de votre engagement pour Christ. Gardez en mémoire la devise latine du corps des Marines américains : « Semper Fidelis » [toujours fidèle].
Bob Gass
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"L'enfant Jésus resta à Jérusalem. Son père et sa mère ne s'en aperçurent pas."Luc 2.43